Bonjour à tous
J’espère que vous allez tous très bien ! Je suis reconnaissant à Dieu de partager avec vous une nouvelle musique intitulée « Mon Sauveur a été percé ».
Il s’agit d’une des contemplations les plus importantes sur laquelle j’ai pu travailler. Comme plusieurs autres musiques, notamment « Are You Saved », cette nouvelle est directement composée dans le but de solliciter une décision de votre cœur, après vous avoir présenté Christ.
Jeune homme hébreu, profondément influent parmi les classes sociales de son pays (Israël) Jésus est arrêté, torturé puis mis à mort par l’élite politico-religieuse de son époque.
Le motif de son exécution est simple : Il prétend être Dieu fait homme, le Sauveur de l’humanité, tant promis au sein des Écritures hébraïques anciennes (connues aujourd’hui par le nom d’Ancien Testament).
Jeune homme particulier considérant les miracles inédits qui l’accompagnaient, miracles reconnus historiquement même parmi ses ennemis les plus féroces. (voir les talmuds juifs).
Pour en citer quelques-uns, guérisons de malades, (lourds comme légers), résurrection de morts, délivrance des multitudes possédées par des esprits. Soulagement des foules par démultiplication de nourriture.
Moralement irréprochable, douceur si vaste que même les castes les plus éloignées de la société osaient s’approcher de Lui. Réanimant le sentiment divin que leurs cœurs avaient depuis longtemps enfoui, les uns venaient pour pleurer à ses pieds, les autres pour simplement partager un repas avec et l’écouter.
Jeune homme terrifiant même pour les centurions romains, pourtant entraîné à la dureté et à la violence rigide des lois romaines. L’un n’osait pas le recevoir chez soi à cause de son propre sentiment d’indignité, un autre, participant à la torture et sa crucifixion, le reconnaît pour Fils de Dieu dans une terreur extrême quelques heures plus tard.
Terrifiant à cause de Sa Sainteté même pour ses plus proches disciples qui le priait de s’éloigner de lui !
Un portrait si brillant, qui enferme en lui-même toutes les perfections possibles et inimaginables du Divin, qu’il est si difficile à brosser pour un simple être humain. Un regard sur Lui, puis encore un autre, et c’est tout l’être qui s’y perd.
Jésus expire, et les cadavres doivent être détachés des croix, car c’est un jour, important pour le peuple juif. (La célébration de la délivrance de la servitude égyptienne, par Moïse, La Pâques).
Un homme de foi, Joseph d’arimathie, haut placé parmi les strates religieuses de son pays — croyant secrètement en Jésus — demande à Pilate, gouverneur romain, de détacher son corps afin de le mettre dans son propre tombeau.
Le but de la musique est celle-ci : remplacer cet homme qui Le détache et qui descend Son Corps meurtri, méconnaissable par la torture et la souffrance par vous-même.
Enlever les clous des mains et des pieds, et le porter en terre. Le but est de vraiment placer le corps de Jésus dans vos mains. Il n’y a que lui et vous. Personne d’autre sur la terre que Lui et vous-même.

Maintenant, vient la question :
Pourquoi Jésus lui-même, affirme que son arrestation et condamnation n’est pas le résultat d’un simple élan humain, mais d’une Prescience Divine, écrite bien à l’avance ? En effet, Dieu dans ses attributs, savait que le peuple le rejetterait, Il se sert de ce moment précis de l’histoire pour accomplir Son Sacrifice pour nous tous.
Pourquoi fallait-il que Jésus meure pour nous ?
Jésus nous dit que Dieu dans son Essence est constitué de deux attributs primordiaux. L’un est sa Saintené, l’autre Sa Miséricorde. Dieu est tellement pur, et Saint qu’il ne peut tolérer et laisser impuni le mal commis.
Dans Sa Justice, Il doit agir et le punir, sinon il ne serait pas Juste. Si un juge laisse libre un violeur ou un meurtrier, ne crierait-on pas à l’injustice ? Que le juge n’exerce pas proprement sa fonction ? Même s’il adviendrait que le juge développe quelconque empathie pour le meurtrier ou le violeur, se laisserait — il gagné par son empathie pour laisser aller libre le coupable sans qu’il paie son méfait ?
Il ne serait pas un bon Juge. Il en est de même pour Dieu. S’il ne punit pas le mal, alors il n’est pas Juste. Sans comprendre cet attribut de Sa Personne, Sa Justice, il nous est impossible de comprendre le deuxième. Sa Miséricorde.
Sa justice, il faut le dire est terrible. Une personne s’analysant en lisant ceci pourrait penser qu’elle n’est pas une mauvaise personne. « Je n’ai pas tué, ni volé, ni violé, j’essaie d’être bon avec mon prochain après tout. » Cela va bien au-delà de cela. En effet, un simple mensonge est suffisant pour nous perdre tout entier. Une simple mauvaise pensée du cœur suffit pour nous perdre en face d’un Dieu Saint.
Jésus lui-même l’expliquait à ses disciples. Le mal commence dans le cœur, dans la pensée, et cela est suffisant pour nous condamner, et ne pas entrer dans la Vie qui vient. Je ne dis pas cela pour terrifié, mais pour crée un vaste contraste entre la dimension Sainte de Dieu et la notre, pour annuler en nous même, tout sentiment de justice propre que nous pouvons être si prompt à développé naturellement.
Beaucoup de gens, se réclamant de Dieu se pensait Juste, et mieux que les autres en les jugeant. Dieu met la barre si haute pour que nous puissions tous réaliser notre état de pécheur, nous savoir tous égaux dans nos fautes en face d’un Dieu Saint.
Si nous nous sentons condamnés par notre passé ou notre présent, par le poids de nos erreurs, c’est une bonne chose ! Si nous rougissons de notre passé en nous introspectant devant un Dieu Saint, c’est une très bonne chose ! parce que — sans se sentiment là — il nous serait impossible d’accédé la prochaine partie du message et d’en recevoir une pleine efficacité. Avant de se savoir sauvé — il faut déja se savoir perdu ! Sinon, sauver de quoi ?
C’est maintenant que prend effet pleinement le deuxième attribut de Dieu. Sa Miséricorde.
Au lieu, d’un jour, de devoir payer le prix de nos fautes en face d’un Dieu Saint — Dieu lui-même fait l’impensable, et se condamne Lui-même pour nous. Quand Jésus est mort sur la croix, c’est à ce moment précis de l’histoire qu’Il paie pleinement le prix de nos fautes et de nos erreurs.
Pensez à vos erreurs du passé et du présent. Elles sont transférées dans son corps pour y être enfermées puis détruites. Jésus trace un chemin légal de pardon pour la race humaine. Quand Jésus expire, nos fautes aussi expirent et ne sont plus. Pensons-y, encore une fois, à tout ce que nous avons commis de mal, depuis que nous sommes arrivés sur terre jusqu’a aujourd’hui. Jésus blanchit entièrement notre casier judiciaire.
Jésus dit, que si nous croyons du cœur, en son Sacrifice pour nous, de substitution, nous ne passerons pas en Jugement devant un Dieu Saint. Il paye le prix pour nous rendre parfaitement libres.
Après avoir lu ceci, si vous croyez, personnellement que Jésus est mort pour vos fautes à la croix, et que vous croyez que Dieu l’a ressuscité des morts, attestant sa déclaration au titre de Dieu, vous êtes sauvé. Vous ne passerez pas en jugement. Si vous mourez, vous entrerez dans la vie promise, éternelle.
Si vous voulez être sauvé, mais que vous n’avez jamais prié, je vous encourage à répéter cette simple prière :
Jésus, je ne te connais pas personnellement. J’ai entendu parler de toi, mais je ne te connais pas. Si tu es vrai, si tu existes, si tu es vraiment mort et ressuscité par amour pour moi, s’il te plait, révèle-toi à moi d’une manière si convaincante, qu’aucun doute ne puisse subsister en mon cœur. S’il te plait, sauve-moi. Je te demande pardon pour toutes mes fautes et mes erreurs, consciente ou inconsciente de mon passé et de mon présent. Je crois que tu es mort à la croix pour moi, et que tu es ressuscité des morts, prouvant que tu es Dieu. Je le demande, dans le Nom de Jésus Christ lui-même, amen.


